Compte à rebours F1 2025 : Le Grand Prix du Canada saura-t-il se racheter de l’édition 2024 bordélique?

Les politiciens et les dirigeants du Grand Prix du Canada peuvent bien dire ce qu’ils veulent, Montréal a perdu la face lors de l’édition bordélique, l’an dernier.
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Des opérations sur l’île Notre-Dame au fiasco des terrasses au centre-ville, l’image internationale de la métropole et du Québec a mangé une sérieuse volée. D’autant plus que le grand patron de la F1, Stefano Domenicali, a dû écrire une lettre d’excuses aux chefs des écuries pour les nombreux problèmes qu’ils ont rencontrés.
Sept semaines plus tard, le promoteur Bell et son chef d’orchestre, François Dumontier, annonçaient leur séparation.
Martin Chevalier / JdeM
Avec un nouveau patron en Jean-Philippe Paradis, V-P chez Bell, les organisateurs à Montréal ont disposé de 10 mois pour faire leur examen de conscience et mettre en place un scénario sans failles en prévision de juin.
Sauront-ils le mettre en application et l’exécuter à la lettre pour que tout se déroule sans anicroche dans la semaine du 9 juin? À suivre dans trois mois alors que la construction sur le pont de la Concorde et l’accès au site resteront des enjeux. Il s’agit d’irritants pour Domenicali.
Photo Agence QMI, JOEL LEMAY
Dans tous les cas, il s’agit du dernier Grand Prix disputé en juin, car à partir de 2026, les voitures tourneront en mai. Et du même coup, ce sera la dernière course avec la mairesse de Montréal, Valérie Plante, en poste.
Le Grand Prix de Melbourne débutera à minuit, samedi soir.